Parfum de poésie · 21. juin 2018 Coquelicot, calicot vie fauchée par la cupidité et la vanité des puissants. Mais tu laisses au printemps un souvenir impérissable. Et je sais que tu reviendras le moment venu, nous sortir à nouveau de notre torpeur hivernale. tagPlaceholderCatégories : Écrire commentaire Commentaires: 0
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